vendredi 21 juillet 2017

Loisirs, vie sociale, professionnelle et personnelle... Les nombreux impacts de la rhinite allergique

Près d'une personne souffrant d'une rhinite allergique sur deux affirme qu'elle impacte leur qualité de vie de manière très fréquente voire quotidienne. Les 25-34 ans sont les plus touchés.

Nez bouché et qui coule, éternuements à répétition, démangeaisons des yeux et du nez... La rhinite allergique est une pathologie très fréquente, dont la prévalence ne cesse d'augmenter.
En France, un tiers de la population serait ainsi touché. Contrairement à une idée reçue, celle-ci ne survient pas seulement au printemps avec ce qu'on appelle le" rhume des foins": elle peut aussi s'avérer persistante.

En effet, "qui dit rhinite allergique, ne signifie pas seulement une gêne occasionnée par les pollens et les graminées. D'autres allergènes, nombreux et variés (acariens, moisissures, blattes, animaux...) en sont aussi l'origine" précise l'association Asthme et Allergies. Dans les deux cas, les personnes qui en souffrent ont une qualité de vie qui peut être altérée comme le confirme un sondage Ifop pour le laboratoire Meda (Groupe Mylan).

Celui-ci révèle que la rhinite allergique a un impact négatif manifeste sur de très nombreux aspects de la vie comme les loisirs, la vie sociale, professionnelle et même personnelle. Ainsi, si le printemps est "la"saison par excellence des rhinites (91%), elle est loin d'être le seul déclencheur: les répondants déclarent en moyenne 2.8 périodes d'allergies dans l'année, y compris donc aux autres saisons ou lors des pics de pollution (pour plus de la moitié des répondants), avec la région parisienne particulièrement concernée.

La fatigue, conséquence la plus évoquée